2011-02-02 – Un soutien sans douleur
Parfois, la rue devient brièvement salon. De simple piéton on se mue en interlocuteur et parfois même en causeur. Il suffit d’un quelconque incident urbain dont le hasard de l’existence nous fait cadeau de devenir spectateur et que l’on commente avec un quidam dont la présence sur les lieux est tout aussi fortuite.
Bon, admettons que pour placoter comme ça, avec un inconnu, il faut jouir d’un naturel plutôt grégaire.
La conversation s’orientant doucement vers le délicieux sujet de la vie dans le Vieux-Québec, on demande finement à notre vis-à-vis s’il connaît le CCVQ. Bien sûr qu’il connaît le CCVQ. En est-il membre ? Non. Cela l’intéresserait-il de devenir membre ? Il n’a pas le temps, dit il, en se tortillant légèrement.
Ah ! Ha ! Famili…
Oui, il faudrait qu’un apothicaire invente un vaccin pour combattre ce virus qui, chez le citoyen du Vieux-Québec, détraque souvent sa perception de ce qu’est le soutien au CCVQ et la participation au CCVQ. C’est pas compliqué. Soutien, ça prend quatre minutes par année. Participation, ça prend toutes les heures par année qu’on veut et peut bien y mettre, compte tenu de tous les impératifs de la vie.
Soutien
Quatre minutes, c’est rien pour celui qui les donne. Et pour le CCVQ, c’est énorme. L’appui de ses membres est la pierre angulaire de sa crédibilité.
Quatre minutes, c’est le temps que ça prend pour cliquer sur ADHÉSION dans la page d’accueil du site Internet du CCVQ, remplir le formulaire et payer en ligne – archi-sécuritairement – les 10$ du membership, auxquels on peut élégamment ajouter un don d’autant de dollars que possible sans compromettre les besoins essentiels de sa famille.
Participation
Ça, c’est plus engageant. On fait plus que soutenir, on agit. On ne vous fera pas de dessin, vous savez que le CCVQ a toujours besoin de cerveaux et d’ardeurs pour mener sa mission à bien.
Pas besoin de faire partie du conseil d’administration pour participer. On peut aider sur un dossier ou l’autre, ponctuellement, à la mesure de ses moyens.
Et on comprend fort bien qu’une personne n’ait pas le temps de participer.
La réunion annuelle
Ça va comme c’est mené, dit l’adage. Pour savoir comment la mission du CCVQ est menée, venez assister à sa réunion annuelle, mardi soir le 15 février à 19h. Oui, oui, le lendemain de la St-Valentin. Nous avons pensé qu’après avoir bien pratiqué l’amour, le 14, vous auriez envie de continuer le lendemain.
Ce soir-là, on va à l’Auberge St-Antoine, on fait une réunion d’affaires rapide pour entendre un rapport d’activités, recevoir un bilan financier et élire les administrateurs. Trente à quarante minutes, maximum. Après, un forum sur les États généraux du Vieux-Québec, pour savoir où ça va nous mener toute cette démarche. Une heure environ. Puis on clôt sur la St-Valentin du Vieux-Québec, dans une salle de réception du St-Antoine, autour d’un verre, jusqu’à plus soif. Pour l’amour du Vieux-Québec.
Le quidam, sachant maintenant qu’il pouvait sans douleur accorder son soutien au CCVQ, l’a immédiatement accordé…