2011-02-16 – Le CCVQ, antidote au cynisme

Hier soir, 15 février, auditorium de l’Auberge St-Antoine. Atmosphère détendue chez les quarante quelque participants à la réunion annuelle du CCVQ. Rien à voir avec la période de questions de l’Assemblée nationale. Et pourtant, nous sommes en pleine démocratie. Qui a dit que la démocratie devait toujours s’exprimer dans la méfiance, les accusations et les invectives ?

Oui, cette réunion était vraiment une cure pour tous ceux dont le lobe démocratique est affligé par le spectacle dans nos deux parlements. Ici, pas de mensonges ni de dissimulations. On met la richesse collective en valeur, on ne la brade pas. Les déficits sont clairement exposés et les plans pour les réduire, s’ils ne sont pas encore au point, ne sont pas objet de contorsions verbales fabulatrices. Des échanges francs, directs sur des problèmes bien documentés.

La participation citoyenne à son meilleur. On vous donnera le compte-rendu de la réunion dès qu’il sera prêt. Mais sachez d’emblée que deux nouvelles figures ont fait leur entrée au conseil d’administration du CCVQ. France Bilodeau et Michelle Bussières viennent mettre leurs compétences au service de la communauté du Vieux-Québec. Merci.

Quatre anciens ont été réélus pour un nouveau mandat de deux ans : Nadine Galy, Louis Germain, Michel Leclerc et Véronyc Sansoucy. Deux administrateurs, Serge Béhar et Josianne Gervais, élus l’an dernier pour deux ans, ont dû déclarer forfait en raison de leur emploi du temps trop chargé. Leur mandat sera complété par Roger Bertrand et Claudette Blais dont le mandat de deux ans était arrivé à échéance et qui ont donc été réélus pour un mandat d’un an. Merci à tous de la part de la minorité causeuse et de la majorité silencieuse.

Pour vaincre le désabusement et se débarrasser du cynisme ambiant, mieux vaut lire MursMurs que le Journal des débats au parlement. Dites le à vos amis.

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