Quand les Égyptiens ont construit leurs pyramides, ils ne disposaient pas de grosses machines motorisées. Mais ils souquaient par centaines pour hisser les pierres vers le sommet.
Et ils ont atteint le sommet. Par la convergence des efforts.
C’est ainsi qu’on fonctionne dans le Vieux-Québec. On n’a pas de grosse machine politique mais toutes nos forces vives souquent pour hisser le quartier vers le sommet. Le sommet du bien-être et du succès pour tous.
Bien au contraire, réalisme optimiste. Et tant pis pour les esprits chagrins.
Les esprits forts, eux, agissent.
Parmi ceux là, Claudette Bhérer, directrice générale de l’Association des gens d’affaires du Vieux-Québec. Mercredi soir dernier, au Morrin College, elle tenait le cocktail annuel de l’Association. Qu’y voyait-on ? Des représentants des deux autres associations marchandes du Vieux-Québec, le Croissant et le Petit-Champlain, ainsi que de celle du Faubourg – la rue St-Jean dans St-Jean-Baptiste.
Parcs Canada, Festival d’été, Fêtes de la Nouvelle-France, Carnaval, le Bureau des Grands événements, le CLD, d’autres services de la Ville, etc. avaient tous des représentants sur place.
La concurrence oui, la convergence oui, aussi.
Un beau cocktail, soit dit en passant. Bien arrosé, bonnes bouchées, un gros prix de présence valant plus de 4K$. Un encan silencieux au profit de la Maison Dauphine et de l’Association portant sur 8K$ de biens et services. Et 5K$ de billets gratuits pour le Capitole. Bien fait. Et merci.
Mais le plus important, c’est la synergie. Actuellement, les institutions du Vieux-Québec s’affairent à créer leur propre association, question de souquer ensemble elles aussi et d’ainsi s’arrimer à la grosse corde du Vieux-Québec. C’est à l’automne que l’association des institutions du Vieux-Québec devrait être prête. On converge.
Les planètes s’alignent.