Le projet d’école pour garçons a besoin de trois piliers : un lieu, un groupe d’enfants, un sac d’argent.
Le premier pilier est en place. C’est le 41, Ste-Famille, comme nous vous l’annoncions le 7 avril. Le second pilier est en gestation. Il s’agit de réunir suffisamment d’intentions d’inscription à la nouvelle école pour la fin mai. On a commencé à bâtir cette patte-là dès le 7 avril et ça va bien.
Le troisième pilier, c’est le fric. Il faut de l’argent pour démarrer n’importe quel projet, une école aussi. Car la première année d’une école privée, le gouvernement ne paie pas. Il attend la deuxième année, question de s’assurer que le projet tient la route.
Alors en plus de frais normaux de scolarité, il faut allonger des dollars pour assurer le démarrage. On a besoin de 600K$. On va mettre bien des gens à contribution : les parents des enfants, les résidants du Vieux-Québec qui veulent que leur quartier vive bien, les commerçants du Vieux-Québec qui sont du même avis que les résidants, les institutions qui sentent leur responsabilité sociale et patrimoniale, les grands donateurs privés qui ont plus de fric que les autres et sont généreux, plein de monde quoi.
Et on va réussir.
Coup d’envoi de la campagne de souscription. Une soirée bénéfice, mardi le 28 avril. Un cocktail dînatoire, à 250 $ (et un reçu d’impôt de 220 $, quand même), avec bouchées du St-Amour et une allocution par Jacques Lacourcière, le tout agrémenté par une vue imprenable sur la ville, du haut de l’Observatoire de la capitale sur Marie-Guyart.
Vous voulez un billet ? Signalez votre intention. Quelqu’un vous appellera très rapidement. C’est pour une école. C’est pour la vie d’un quartier, le Vieux-Québec.