Le Crashed Ice est de retour ! Tadam !!! Bon. Il existe un magnifique proverbe pour ça. Il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. C’est comme ça qu’on peut endurer les pires sévices en résistant aux charmes du masochisme. Faire bon cœur face à l’adversité ne signifie pas jouir de la douleur.
Notez : il y a une journée de compétition supplémentaire cette année. Le jeudi soir, 17 mars, c’est l’éliminatoire réservée aux compétiteurs québécois dont les meilleurs seront présents lors de la grande éliminatoire, le vendredi 18 mars. Mais il n’y a pas de grand public, le jeudi. Ça se déroule entre amis, quoi. Finale, comme d’habitude, le samedi soir, 19 mars, jour de la fête de St-Joseph, tiens...
Le Crashed Ice est quand même moins lourd qu’il ne le fut déjà, grâce aux diverses mesures d’atténuation des inconvénients apportées au fil des ans, surtout l’an dernier. Rafraîchissez vous la mémoire quant aux dites mesures, ça fait du bien. Disons simplement que le gros a déjà été fait au niveau de la réduction de la période d’installation/désinstallation et qu’on ne peut conséquemment espérer pour l’avenir que des améliorations mineures à cet égard. Ce qui va se passer cette année est à peu près la même chose que l’an dernier.
Par contre, si on veut mener une telle compétition en milieu urbain, il faut agir en conséquence. Ainsi, le CCVQ a notamment demandé à Gestev, cette année, d’améliorer l’esthétique générale des installations, question de maquiller leur allure chantier en habillant les structures le plus élégamment possible, sinon le plus discrètement possible.
Les efforts d’amélioration vont également porter, au cours des prochaines semaines, sur la discipline imposée aux divers sous-contractants du chantier afin qu’ils n’occupent pas les stationnements et autres aires mises à la disposition des résidants des alentours.
D’ailleurs, prenez connaissance des restrictions et autres hors-d’œuvre que l’installation de la piste exige à partir d’aujourd’hui.
Au cours des prochains jours, nous vous communiquerons le plan général des travaux et de la piste. Facteur de difficulté supplémentaire cette année : les réparations au quai Chouinard, privant Gestev de sa base d’opérations, déménagée en partie sur le quai 22 et… ailleurs.
Bon, Christian Papillon doit être en train de s’entraîner.