Le plus souvent on vit en ville, dans sa propre ville, sans saisir, sans voir plus de 2% de la richesse du milieu qui nous entoure, qui nous abrite, qui nous nourrit. C’est comme l’air qu’on respire ; on l’oublie quasi tout le temps même s’il nous est essentiel.
C’est pas simple d’organiser de grands et gros événements à Place Royale. Il faut tenir compte du patrimoine, des commerçants et des résidants, des contraintes logistiques, mécaniques, d'approvisionnement électrique, alouette.
Avec un titre pareil, vous vous attendez probablement à une envolée lyrique sur ce que constitue la substantifique moelle du Vieux-Québec. Hé non, point de lyrisme. Le sujet n’est ici que froide technologie ! Mais combien efficace pour transmettre le lyrisme, si c’est l’emploi que vous lui destinez.
La fibre en question, c’est la fibre optique. La fibre que Bell commence à installer dans notre quartier ces jours-ci.
Et c’est bien ça le problème. On est aveugle face aux grandeurs de chez soi. Aveugle parce qu’habitué. On s’habitue à tout dans la vie ! Même au bonheur, qu’on ne ressent presque plus quand on y baigne depuis un certain temps. Faut un malheur pour humer l’odeur du bonheur à retrouver. Y a rien comme une magnifique peine d’amour…
Le nouveau Conseil d’administration du Conseil de quartier, – élu le 17 avril – tenait sa première réunion le 15 mai.
Quand le patient devient exsangue, on lui fait une transfusion. C’est exactement ce qui s’est produit hier soir lors de la réunion annuelle du Conseil de quartier (CQ).
Mardi prochain le 17, il y a élections au Conseil de quartier (CQ). C’est la fin du mandat de l’équipe actuelle. C’est aussi, semble-t-il, la fin d’une époque.
Pourquoi, mais pourquoi donc la population du Vieux-Québec a-t-elle décliné de quasi 10% en cinq ans ? Et comment contrer ce recul ?
Chacun offre son explication avec conviction, sa solution avec aplomb. Le CCVQ, lui, n’est pas encore prêt à fournir ni l’une, ni l’autre. Pourquoi ?