Jean Rousseau assumera désormais la présidence du Comité des citoyens du Vieux-Québec.
Lors de la réunion annuelle du CCVQ, hier soir, Louis Germain a annoncé à la cinquantaine de participants qu’il ne sollicitait pas de nouveau mandat au sein du Conseil d’administration, après six ans à sa tête.
Le CCVQ a depuis le début été favorable au projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu à l’intérieur du Vieux-Québec. Pourquoi ?
C’est qu’on avait le choix entre l’agrandissement de l’hôpital ou sa disparition, tout simplement. Entre les deux, le choix n’était pas trop difficile.
On vous le rappelle. C’est demain, mercredi le 27 à 19h, à l’Auberge St-Antoine, 8 rue St-Antoine.
De 19h à 20h, on fait nos devoirs. Surprise, il y a du changement qui s’en vient au CCVQ…
À 20h, Julie Lemieux, conseillère municipale et membre du Comité exécutif vient nous parler de la Table de concertation du Vieux-Québec.
Super intéressant.
C’est elle, membre du Comité exécutif de la Ville, qui a mis sur pied la Table de concertation du Vieux-Québec. À quoi sert cette Table ? Voici ce que le sommaire exécutif d’avril 2012 énonçait :
La Ville de Québec souhaite créer une table de concertation pour le secteur du Vieux-Québec dont l'objectif principal sera d'établir des consensus sur les orientations, les interventions et les actions à mettre en œuvre pour un développement équilibré du Vieux-Québec. Cette action fait suite aux États généraux sur le Vieux-Québec tenus en 2010.
C’est simple. Les États généraux ont étudié la situation durant deux ans et ont établi les principes devant guider les actions. Aujourd’hui, la Table nous fait passer aux moyens, aux actions.
Mercredi le 27 mars à 19h, c’est la réunion annuelle du CCVQ, à l’auditorium de l’Auberge St-Antoine. De 19h à 20h, on procède aux affaires. À 20h, Julie Lemieux, conférencière invitée pour la circonstance, vient nous parler de la Table et du plan d’action en cours d’élaboration.
Puis elle nous écoutera lui faire des suggestions. Nous discuterons tous ensemble. Une magnifique occasion de faire avancer les choses.
Et à 21h, on prendra peut-être un p’tit verre au bar de l’Auberge, en poursuivant sur la brûlante question du «développement équilibré du Vieux-Québec».
C’est LA raison d’être du CCVQ. Pas le p’tit verre, le développement équilibré...
Petit communiqué, simple et qui se veut efficace, sur un ton gentiment affaire.
La course, cette année, a lieu le samedi 16 mars. Le programme, ici.
Comme depuis plusieurs années, Gestev invite gracieusement les résidants et commerçants riverains du circuit à assister à la course à partir de la «Plateforme des citoyens».
Il s’agit d’une estrade installée dans la courbe principale, en face du 72 de la côte de la Montagne. On y sert des rafraîchissements et il s’agit clairement du meilleur point de vue sur la piste. D’autant plus qu’un écran géant permet de suivre l’action d’un bout à l’autre. Regardez le plan du circuit. La plateforme y est indiquée par une grosse flèche rouge.
Pour savoir comment profiter de l’invitation, cliquez ici.
Et enfin, pour être parfaitement au courant des tenants et aboutissants du montage/démontage des installations, consultez ce document.
La plateforme des citoyens, c’est un bon deal, comme on dit à Paris. Allez hop ! demandez votre laissez-passer. Cliquez, deux paragraphes plus haut. Vous occuperez les premières loges.
Ce sera vraiment le meilleur moment de la Glace Concassée du Taureau Rouge.
Hier, 28 février, conférence de presse sur la Table de concertation du Vieux-Québec. MursMurs vous a parlé de ça, hier. Sur un ton résolument positif. Positif pour de bonnes raisons.
Or ce matin...
Ça, c’est la devise des trois Mousquetaires. Ça pourrait aussi bien être celle de la Table de concertation du Vieux-Québec. Tous pour le Vieux-Québec, le Vieux-Québec pour tous.
Les media vont vous communiquer toutes sortes de choses suite à la conférence de presse tenue par Julie Lemieux, jeudi le 28, pour présenter un rapport d’étape sur l’activité de la Table depuis septembre dernier et les actions qu’elle propose.
Mais ils ne vous diront pas l’essentiel.
Dire que les archéologues, depuis des siècles, passent des heures à creuser le sol, à flatter doucement des pierres et à scruter de menus fragments pour reconstituer le passé. Aujourd’hui, nous, on n’a qu’à aller s’asseoir devant un écran pour, à toute vitesse et sans aucun effort, voir le passé devenir présent.
Oui, grandes elles sont, ces Augustines. Depuis 374 ans elles vivent ici, fidèles à leur mission originelle, sans faillir.
Chialeux, les gens du Vieux-Québec ? Rarement, parce que la plupart du temps, on travaille, on s’amuse, on aime surtout. Parfois, on proteste, avec raison. Mais chialer ? Hmmmm…
Nicolas ? Qui est-ce ? Curieux ? Allez lire la chronique de Francis McKenzie.
Dans la vie, c’est l’humain qui compte le plus. On le sait tous mais comme tout ce qui est acquis, on l’oublie trop souvent.
Notre nouveau chroniqueur, Francis McKenzie, est en plein dans l’humain. Vous allez voir. Son premier article, c’est la semaine prochaine. Tiens, lisez son petit mot qui nous en esquisse les effluves.
N’écoutant que leur courage et Léonce Naud, les membres du Conseil de quartier se jetteront dans le Bassin Louise, ce mardi 15 janvier, pour vérifier la faisabilité du projet des Gens de Baignade.
Bon, vous aurez compris qu’ils se jetteront dans l’étude du projet et non dans l’eau «frette» du Bassin. Tout ça au cours de la première réunion de la nouvelle année du Conseil, mardi à 19h, au gymnase des Ursulines, comme d’habitude.
Prenez connaissance de l’ordre du jour, dont le projet de Léonce Naud est un des deux principaux points. Ça vous donnera peut-être le goût de vous mouiller dans la chose municipale.
Ce n’est un secret pour personne que le CCVQ considère que le Red Bull Crashed Ice (RBCI) n’a pas sa place pour l’éternité dans le Vieux-Québec. Ce que subodorant, une journaliste de TVA a voulu savoir, vendredi le 4 janvier, ce que le CCVQ avait à dire quant à l’éventualité d’une reconduction du contrat entre Red Bull et la Ville, l’édition de mars 2013 étant la dernière du contrat actuel.
Le souhait, c’est l’antichambre de l’optimisme. Un vrai souhait, s’entend. Pas un souhait anémique et pâlot comme «Bonne année», ou convenu comme «Santé, bonheur, prospérité» ou, pire encore, «… et le paradis à la fin de vos jours». Non, un vrai souhait, un souhait concret.
Souhaiter de gagner la 6/49 relève plus de l’humour que de l’optimisme. Un souhait concret, c’est un souhait réalisable. Ce qui n’exclut pas l’utopie, ce magnifique carburant de la volonté.
Alors, de tous les possibles, que souhaiter à tous ceux qui vivent, travaillent et se divertissent dans le Vieux-Québec ?