Il n’a pas que le déneigement des rues qui fait fondre les budgets. Il y a aussi le déneigement des toits. Et si le règlement R.V.Q. 1302 adopté par la Ville entre en vigueur l’hiver prochain comme prévu, la fonte des portefeuilles va s’accélérer. Expliquons.
Y en a-t-il trop ? Qu’est-ce que trop d’élus ? Trop de quoi ? Trop d’argent ? Lorsqu’on consulte le Rapport Mercure on constate, à la rubrique 4.2 Gains recherchés, page 11, que le seul gain convoité, c’est une économie d’environ 100 000 $ par année par conseiller éliminé.
À l’ordre du jour de la réunion du Conseil de quartier de demain, mercredi le 19, se trouve un point intitulé Stratégie d’intervention hôtelière. Pour ceux qui s’y connaissent, ça veut dire notamment : combattre l’hôtellerie illégale. Pour le CCVQ qui a fait de cette question son dossier prioritaire, voilà une bonne nouvelle. De nouvelles énergies se joignent aux siennes et à celles de la Ville pour combattre ce virus qui ronge tant le tissu résidentiel que le système nerveux des hôteliers légaux.
Rendez-vous à 19h au gymnase des Ursulines pour cette réunion où il sera aussi question de politique culturelle et des séances publiques de travail sur le zonage. Voyez en l’ordre du jour.
Il n’y a pas que le CCVQ qui atteint l’âge de la maturité. Le Comité populaire St-Jean-Baptiste attrape trente ans cette année. Malgré cela, il devra toujours respect au CCVQ, son aîné qui compte 33 printemps et aussi quelques automnes, par ci par là.
Le Comité populaire souligne ses trois décennies en lançant un documentaire de 29 minutes sur l’engagement citoyen dans le quartier St-Jean-Baptiste. Le lancement a lieu mercredi prochain le 29. Prenez connaissance du communiqué qui décrit tant le Compop que le documentaire. Prenez note des séances de projection publique du documentaire à la bibliothèque St-Jean-Baptiste.
Félicitations au Comité populaire St-Jean-Baptiste et que son action se prolonge !
L'Empire State Building de New-York a fait rêver bien des générations. Le plus haut édifice du monde, avec ses 104 étages. Faut dire que le cent-quatrième est bien exigu, de la dimension d’une petite chambre à coucher.
Il a su résister, lui, aux écrasements d’avions. En 1945, un B-25 Mitchell l’a heurté de plein fouet, déclenchant un incendie, mais laissant sa structure intacte. Un Boeing 767 l’aurait certainement détruit par contre, sa masse étant environ dix fois supérieure à celle du B-25. Le World Trade Center a eu moins de chance que l’Empire State.
À Québec, l’édifice Price a été construit en 1929 par la famille du même nom, propriétaire de la papetière. Du même style architectural que l’Empire State Building, il est de la même époque. Le voyant s’ériger, les habitants de Québec se partageaient en deux groupes : les admirateurs et les horrifiés. Ça vous rappelle quelque chose ?
Déjà illuminé, l’édifice Price va l’être beaucoup plus et beaucoup mieux à partir du mois de juin et ce, pour la même quantité d’énergie. Prenez connaissance du communiqué émis par la Commission de la Capitale nationale, de qui vient cette initiative.
Ça va être beau ! Le premier ministre, qui y reçoit ses invités de marque, va être content.
Faut mettre les bouchées doubles au nouveau Conseil de quartier, question de se mettre au parfum des dossiers. Alors mercredi le 12, au Gymnase des Ursulines comme d’habitude, le Conseil de quartier tiendra une réunion de travail pour recevoir les informations sur deux grands dossiers.
Ce pourrait être si simple. Que la Ville de Québec cesse de tergiverser et démontre qu’elle est maître du jeu. Le promoteur à qui on a vendu le développement du terrain du Patro St-Vincent-de-Paul a triché, tout simplement. Il a démoli sans avoir obtenu toutes les permissions. Qu’il en subisse les conséquences.
Ou est-ce le prélude de sa réincarnation ? Le Chantauteuil est à vendre. Eh oui ! Richard Delavaux est fatigué. Lassitude. Le temps souffle, érodant les motivations.
Le Chantauteuil, véritable institution du Vieux-Québec, avec sa famille d’habitués et son atmosphère sans pareille, le Chantauteuil a beaucoup changé depuis quelques années, pas toujours pour le mieux. On peut résumer en parlant de deux étapes majeures.
La première, c’est le réaménagement. On a arraché le mur central, on a éliminé le coqueron, on a tué l’âme. La seconde, c’est l’agrandissement. Dans l’édifice voisin, crevant le mur mitoyen, créant une scène pour les spectacles, on a réinsufflé un esprit.
Mais ça n’a pas tenu. Permis de scène perdu il y a deux ou trois ans, autres difficultés…
Aujourd’hui, le fonds de commerce est à vendre. Le Chantauteuil va changer, ça c’est certain. Il peut disparaître complètement, ou jouer au Phénix. On verra.
Mais si surgissait une de ces bêtes sociales, au charisme irrésistible, dotée d’un peu de fric, qui ferait refleurir un bistro chaleureux, confortable, au sein du Vieux-Québec, un bistro pour les gens d’ici, quel bonheur ce serait, non ?
Ça va glisser à la planche au Carré d’Youville. Vendredi prochain le 7 on y accueille le Stairmasters, une des activités du Snowboard Jamboree 2008, compétition de planche à neige, de snowboard comme on dit à Paris, dont le principal se déroule à la station de ski Stoneham. D’ailleurs, on semble n’en avoir que pour les expressions anglaises dans le joyeux monde de la planche à neige : top riders, wallride, railjam, halfpipe, Fashion Jam, etc.
Rassurez vous, il n’y aura pas d’installations aussi imposantes que pour le Red Bull. Prenez connaissance des brèves restrictions à la circulation et au stationnement pour cette seule journée.
C’est bien connu, en guise d’arsenal contre l’hôtellerie illégale la Ville ne dispose que d’un tire-pois. Elle est en train de se magasiner un canon mais ça, ça prend du temps et d’ailleurs, MursMurs vous en donnera des nouvelles la semaine prochaine. Par contre, à défaut de canon, pourquoi pas un bazooka ?
Vous voulez du divertissement ? Inscrivez vous dans une dangereuse compétition !
« Adieu Vieux-Québec ! » titrait tristement Le Soleil du dimanche 24 février. C’est ainsi que le chroniqueur Jean-Simon Gagné exprimait sa déception devant le « village fantôme » qui se meurt dans l’indifférence générale.
Disons que la perception de Gagné est fortement pessimiste, pour utiliser un euphémisme. Prenez connaissance de sa chronique et de l’article principal du reportage du Soleil.
Mais cette mort annoncée n’est qu´un simple brûlot. Voyez la réplique du CCVQ.
Ah ! les media… La responsable du patrimoine de la Ville, Francine Bégin, s’est fait mettre le mot «appendice» dans la bouche par un journaliste du Soleil en quête de sensationnalisme. C’est ce qu’elle révèle dans une mise au point qu’elle a fait parvenir à MursMurs suite à la publication de notre article du 21 février.
Madame Bégin nous suggère de lire le mémoire de la Ville pour juger de l’ensemble de sa contribution au débat sur le révision de la Loi sur les biens culturels, malheureusement occultée par l’appendicite.
Il n’en demeure pas moins que les trois experts consultés par Le Soleil, cités dans son édition de dimanche le 24, sont unanimes. Ce serait une erreur d’écarter la côte d’Abraham. Et madame Bégin n’a pas commenté notre énoncé sur le lien entre la démolition de la façade de l’église St-Vincent-de-Paul et sa proposition d’exclusion de la côte.
La responsable du patrimoine de la Ville, Francine Bégin, par sa récente déclaration sur l’«appendice désuet au Vieux-Québec» que constitue la Côte d’Abraham, illustre parfaitement les dérives de raisonnement que le CCVQ désire voir contrer par la Loi sur les biens culturels, bientôt en révision.
Vous voulez des odeurs de 300e ? Saviez vous qu’en 1908, il y en a beaucoup qui voulaient carrément oublier le 300e de Québec et célébrer… le 150e de la «victoire» des Plaines d’Abraham en 1909. Que voulez-vous !… comme dirait l’autre – (le gars du «plusss meilleur pays du monde»). Mais finalement, le bon sens l’a emporté et ils ont fêté le 300e.
Alors ils ont commémoré, en 1908. Jetez un coup d’œil sur les trois cartes postales que MursMurs a obtenues d’un témoin oculaire des festivités du tricentenaire. Des cartes illustrant le Cap Diamant (avec un Château Frontenac sans sa tour centrale), le monument Wolfe (tiens tiens, il n’y en a pas pour Montcalm) et Champlain (on ne voit pas le coffre aux trésors enchassé dans le socle mais il est là quand même). La carte de Wolfe est particulièrement intéressante. Vous verrez que les alentours du monument ont bien changé.
Et si vous voulez en savoir plus sur le 300e, vous n’avez qu’à visiter l’Exposition Tricentenaire de Québec, 1608-1908 qui se tient actuellement au Centre d’archives de la Bibliothèque nationale à Montréal. À Montréal ? !!! Eh oui. C’est comme ça que ça se passe. Allez savoir pourquoi. Laissez votre puissant cerveau forger son propre commentaire éditorial…
Et bon trois centième !
C’est avec beaucoup d’intérêt que la Ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, madame Christine St-Pierre. a reçu le mémoire présenté lundi par le CCVQ lors de la consultation publique sur le livre vert intitulé Un regard neuf sur le patrimoine culturel. La suite...
C’est mercredi le 20 que le nouveau Conseil de quartier présente son plan d’action. Fraîchement élu, il n’en est qu’à sa seconde réunion. De fait, c’est quasiment sa première, celle du 17 janvier en étant plutôt une de mise en forme. Alors il est très en forme, notre Conseil, et plein d’ardeur. Consultez l’ordre du jour de la réunion. Certains sujets pourraient vous intriguer. La suite...
On fête notre 400e anniversaire. Mais on ne veut pas fêter les 400 années, on ne veut que fêter l’anniversaire. Cachons le plus possible l’histoire de Québec en ces célébrations dites «festives», comme si une fête pouvait être autre chose que festive.
Plusieurs ont dénoncé ce couvercle flanqué inélégamment sur notre histoire, de Biz à VLB en passant par Marie-Andrée Chouinard. Prenez connaissance de ce texte très instructif de l’historien Gaston Deschênes. Ça vous laissera songeur, désabusé ou enragé, c’est selon, mais certainement attristé.
Le CCVQ va continuer ses pressions pour que l’histoire de Québec soit célébrée.
Depuis plus d’un an, le Comité des citoyens du Vieux-Québec multiplie les démarches auprès de l’organisation des Fêtes du 400e dans la poursuite de deux objectifs. La suite...
Les meilleurs, oui, mais certainement pas les seuls. Et il ne faudrait pas qu'ils le soient non plus. Le CCVQ voit d’un bon œil la modernisation de la Loi sur les biens culturels amorcée par le gouvernement du Québec. Il apprécie particulièrement son élargissement aux notions de patrimoine culturel matériel et immatériel et sa volonté d’être lié par les principes et pratiques des grandes conventions internationales sur le patrimoine.
Cependant le CCVQ émet des réserves sur la capacité réelle de ce projet de loi de donner au Ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine les moyens et l’ascendant nécessaires pour fabriquer la cohérence dans la gestion du patrimoine culturel matériel et immatériel compte tenu des nombreuses lois et règlements en jeu, sans compter le nombre d’intervenants.
Cette réserve se ressent davantage si les principaux acteurs que sont les municipalités, les villes et les MRC ne sont pas encore tenues de se conformer aux principes énoncés dans la loi sur le développement durable dont celui portant sur la protection du patrimoine culturel.
À nos yeux ce projet de loi n’offre pas le niveau requis de cohérence, mais il n’en demeure pas moins un pas dans la bonne direction qui mérite d’être souligné, encouragé et applaudi parce qu’il fera davantage appel aux citoyens qui réclamait depuis longtemps voix au chapitre.
Prenez connaissance du mémoire que le CCVQ a transmis aujourd’hui au Ministère en vue de la séance de consultation publique du 18 février prochain.
C’est le cas de le dire, ils sont tous deux pris en «flagrant dans le lit». Précisons immédiatement qu’ils sont innocents. Le criminel est ailleurs. Il n’en reste pas moins que les deux organismes se retrouvent dans une position embarrassante. Précisons.
Daniel Guay est le président d’Accès Saint-Laurent Beauport. Il a communiqué sa vision par écrit, début janvier, à Régis Labeaume, suite à une rencontre tenue avec ce dernier le 30 novembre dernier.
Accès Saint-Laurent Beauport concentre ses efforts sur la préservation des rives du fleuve comme espace public. Prenez connaissance de sa missive au maire Labeaume. Il y fait notamment référence à ce qui s’est fait à Chicago.
Le CCVQ partage les objectifs généraux d’Accès Saint-Laurent Beauport.
La menace la plus immédiate à l’habitation dans le Vieux-Québec, c’est l’hôtellerie illégale. C’est pourquoi le nouveau Conseil d’administration du CCVQ fait de ce problème sa principale priorité pour 2008.
C’était soirée d’élections, hier soir, au CCVQ, à l’occasion de la réunion annuelle de l’Assemblée générale tenue au Centre de recherche de l’Hôtel-Dieu. Le nombre d’administrateurs a été porté de dix à onze. Louis Germain a été reporté à la présidence, Roger Bertrand à la vice-présidence et Isabelle Roy assume les fonctions de secrétaire-trésorière. Le nouveau Conseil reflète la volonté du président de réunir une équipe forte, composée de gens expérimentés, coutumiers des relations avec les administrations publiques, capables de mener des dossiers complexes. Chacun se verra confier un mandat à partir des éléments du plan d’action.
Prenez connaissance des documents préparatoires à la réunion, comprenant notamment le rapport d’activités 2007, le rapport financier, les projets de modification des règlements et le plan d’action. Le procès-verbal de la réunion sera publié dans quelques jours sur ce site.
2008 est une année charnière où la poussée touristique sera très élevée. Hôtellerie illégale, transport en général et avalanche d’autocars en particulier, événements festifs de toute sorte et autres festivals grandioses exerceront une forte pression sur les résidants. Le CCVQ sera fortement sollicité pour lubrifier ces contacts parfois rugueux. Nous avons élu un excellent Conseil mais onze personnes ne peuvent tout accomplir. Les membres doivent collaborer activement. Levez la main !
Fructueuse cette réunion mais discrète. Elle n’avait pas fait l’objet d’aucune annonce publique hormis sa mention sur le site Internet de la Ville. Résultat, qu’une quinzaine de personnes y assistaient en plus des neuf membres du Conseil, de Jacques Joli-Cœur, conseiller municipal et d’André Martel, conseiller en consultations publiques de la Ville, qui sera le soutien administratif du Conseil.
On apprenait ce matin que Serge Allen, commissaire de la Ville de Québec auprès de l’organisation du 400e, quittait ce poste pour revenir à ses anciennes fonctions de directeur général de l’arrondissement de La Cité.
Or en juin dernier le Comité exécutif de la Ville désignait le directeur général de l’arrondissement comme interlocuteur privilégié du CCVQ au sein de l’administration municipale. Il s’agissait de Louis Beaupré avec lequel le CCVQ a tenu à ce jour deux fructueuses rencontres, le 4 juillet et le 12 septembre 2007.
Louis Beaupré est un homme compétent, efficace, amène et agréable. Il fait confiance au CCVQ et le CCVQ a confiance en lui. Il va quitter son poste dans quelques jours, au retour de Serge Allen. Nous tenons à remercier chaleureusement Louis Beaupré de son professionnalisme, de son ouverture d’esprit et de la façon intelligente et positive avec laquelle il a reçu notre argumentation. Il nous manquera.
Nous saluons Serge Allen. Il n’est pas un nouveau venu à l’arrondissement, loin de là et nous ferons affaires avec un homme expérimenté, au fait de la vie du Vieux-Québec. Le CCVQ est confiant que sa relation avec son nouvel interlocuteur privilégié s’inscrira dans la stimulante dynamique instituée par Louis Beaupré.
C’est au Centre de recherche de l’Hôtel-Dieu de Québec, 7 rue McMahon, que se tiendra la réunion annuelle de l’Assemblée générale des membres du CCVQ, mardi prochain le 22 janvier à 19h. Prenez connaissance de l’ordre du jour. Le conseil d’administration présentera à cette occasion les dossiers sur lesquels il entend porter ses efforts au cours de l’année 2008, année importante comme chacun sait.
Les membres qui n’ont pas encore renouvelé leur adhésion sont invités à se présenter à l’avance pour ce faire. Les portes seront ouvertes à compter de 18h15. Nous rappelons qu’il est essentiel d’être membre en règle pour pouvoir voter.
La réunion sera menée rondement. Elle sera terminée à 21h15.
C’est-y ça que vous voulez? Si oui, vous n’avez pas grand-chose à faire. Restez bien tranquillement assis chez vous à regarder vos 26 heures de TV hebdomadaires, comme tout le monde, et en 2108 ce sera fait. Il n’y aura plus un seul résidant dans le Vieux-Québec.
C’est du moins la prédiction d’un groupe d’étudiants qui ont projeté sur une maquette leur vision de l’aménagement de Québec dans cent ans. Tout l’espace du Vieux-Québec est consacré au tourisme, les résidants en étant expulsés notamment par l’escalade du prix de l’immobilier. Vous voulez en savoir un peu plus? Prenez connaissance d’un article paru dans le Fil des événements, le journal de l’Université et repris par Le Soleil du 13 janvier.
Ladite maquette sera exposée au Musée de la civilisation à compter de mardi prochain dans le cadre de l’exposition Urbanopolis qui s’y poursuivra jusqu’au 19 avril. Elle ne sera pas seule. Six autres maquettes, dont la gagnante d’un concours, y seront exposées. L’exposition est évidemment plus abondante que ces seules maquettes mais elles en sont le point focal.
Si la vision d’un Vieux-Québec vidé de ses résidants et complètement occupé par les touristes vous horripile, vous savez quoi faire. Soutenez activement le Comité des citoyens du Vieux-Québec, devenez membre si vous ne l’êtes déjà et accourez à la réunion annuelle de son Assemblée générale le mardi 22 janvier.
C’est le mardi, 22 janvier, à 19h, qu’aura lieu la réunion annuelle de l’Assemblée générale du CCVQ. Rapport d’activité, plan d’action et élections forment le principal du menu de la soirée.
Réservez votre soirée. L’ordre du jour définitif et le lieu de la réunion seront communiqués en début de semaine. À l’aube du 400e il est primordial d’agir intelligemment et en concertation avec tous les acteurs, du Conseil de quartier aux associations marchandes en passant par l’Hôtel de ville, pour veiller à la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine vivant et habité qu’est le Vieux-Québec.